Julia ?
Elle habite dans le grand froid.
Non pas el’ nord de la France … le vrai grand froid, le nord de l’Amérique.
(et oui mon égo a encore gonflé depuis que je sais que je suis suivi jusque là-haut)
Cette fois-ci il n’est pas directement question d’autohypnose, et pourtant il y a une grande leçon à retenir (et à appliquer si tu veux réussir et te sentir beaucoup mieux).
L’autohypnose ?
Si tu me suis depuis un moment, tu sais que c’est une grande passion et que j’aide quotidiennement plein de monde sur le sujet.
Mais ce que tu sais peut-être moins ?
C’est que je coache aussi des hypnothérapeutes, installés ou jeunes diplômés.
Alors non, je ne te raconte pas ça pour te vendre ma came.
Je ne suis pas en train de te dire, « hey vas-y appelle moi qu’on se fixe un rdv si tu veux de l’aide pour ton installation, pour tes différentes approches de l’hypnose, pour tes doutes, ou toutes tes questions ! »
(Parce que 1) ça coûte super cher et 2) je n’ai plus aucun créneau de dispo avant décembre…)
Alors pourquoi je te raconte tout ça ?
Parce que Julia est hypnothérapeute au Quebec.
On a parlé d’hypnose, de stratégie, d’échange de méthodes.
Et Julia connait parfaitement bien son affaire et est une passionnée.
Mais … tu sais bien qu’on dit toujours (en tout cas en France pour nos amis Quebecois ;-)) : c’est le cordonnier le plus mal chaussé.
Julia est parfaitement bilingue et fait donc très souvent des séances en anglais.
Pendant ces séances en anglais ?
Tout le discours « fly » complétement, ça coule tout seul, tout se fait, tout est fluide.
Et forcément les consultants se font tout de suite embarquer dans cet état agréable qu’est l’hypnose, le signaling arrivent rapidement, tout autant que les lévitations des bras et autres.
Où est le problème alors ?
Le problème c’est quand la séance est en français.
Julia est un peu perdue, ne sait plus trop comment amener les choses… peut-être pas tant que ça mais en tout cas ce n’est pas fluide.
Et rien de ce qui se passe dans ses séances en anglais ne se produit ici.
Le problème ne vient pas de la langue puisque Julia est aussi « fluent » en anglais qu’en français.
Tu vas me dire : « mais elle n’a qu’à faire exactement pareil que ce qu’elle fait en anglais, je ne vois pas où est le problème. ».
On est bien d’accord.
C’est là qu’arrive la grande leçon de vie que nous apprends bien malgré elle Julia :
Parce que dans ce cas-là je vais te répondre :
Mais quand tu es stressé, pourquoi tu ne fais pas comme quand tu es tranquille en train de discuter avec tes amis ?
Et pareil quand tu dois passer un oral ou un entretien ?
Et quand tu doutes de toi, quand tu perds confiance, pourquoi tu ne fais pas comme quand tu es confiant et sûr ? aussi calme, posé et confiant que lorsque tu conduits ta voiture par exemple, tu ne te poses pas de question, tu fais le job.
Et quand tu fumes, pourquoi tu ne fais pas comme quand tu ne fumes pas (la nuit ou entre deux clopes)?
Et quand tu as mal à la tête, pourquoi tu ne fais pas comme quand ça va bien ?
Je peux continuer comme ça pendant des pages et des pages.
Ce que ça veut dire ?
Que tu as déjà toutes les ressources en toi.
Toutes les façons d’être, les façons de faire, les compétences.
Tout est déjà là.
Il te suffit de savoir les mettre sur le devant de la scène au bon moment.
Comment tu fais ça ?
Avec l’autohypnose My Dear.
Et (sans prendre la grosse tête cette fois) je ne connais aucune méthode ou programme qui te rend ça aussi facile et qui va aussi loin que la Masterclass Autohypnose.
Tu peux nous rejoindre dès maintenant sur cette page :
https://www.autohypnose-facile.fr/masterclass-autohypnose/
A tout de suite,
Jérémy