« Les mots sont les outils les plus puissants que l’homme ait créés. »
Quand on sait qui a prononcé cette phrase ?
Elle prend encore plus de valeur.
Parce qu’elle vient « juste » de celui qu’on appelle le “Léonard de Vinci” du XXe siècle : Buckminster Fuller.
(Inventeur de génie, designer, architecte, ingénieur, mathématicien, poète … bref un petit gars tout simple quoi)
Je vais te partager une expérience vécue hier sur la route qui illustre parfaitement cette phrase.
Régulièrement ?
J’ai des problèmes aux yeux.
Comme une pression derrière chaque œil.
(remarque déjà comment j’en parle)
Je sais que je dois porter des lunettes de repos, mais j’ai perdu l’ordonnance depuis des années et … bah voilà quoi, je suis un mec dans toute sa splendeur^^.
Bref, environ chaque vendredi, après une semaine à bosser pas mal de temps sur écran, cette douleur apparaît.
Comme si on m’appuyait sans cesse sur les globes oculaires.
Cette semaine, la fatigue aidant, la douleur m’a pris hier matin.
J’ai lutté toute la journée, la fraîcheur de l’air extérieur aidant un peu… mais pas suffisamment, car j’ai été incapable de bien conduire, obligé de m’arrêter sur une aire de repos et de passer le volant.
Ça devenait beaucoup trop fort, ça irradiait dans tout le crâne.
Je profite d’avoir laissé le volant pour prendre 1h de repos en m’endormant avec une séance d’autohypnose pour calmer la douleur.
À mon réveil, la douleur est à peine moins présente, mais déjà plus localisée (très important sur le travail de la douleur : savoir identifier précisément où se situe la douleur, ça permet d’atténuer beaucoup déjà).
Je dois reprendre le volant.
Je le fais tout en continuant mes suggestions hypnotiques.
L’efficacité étant toute relative, je me dis qu’il y a un truc qui ne va pas par rapport à d’habitude.
Je cherche ce que ça peut être en retournant à la base : ma façon de penser.
Et je me rends compte d’une chose :
Je décris ma douleur depuis le début comme une pression, comme quelque chose qui appuie.
Alors qu’en fait, ça c’est ce que je fais physiquement quand je veux me soulager quelques secondes.
En effet, si j’appuie sur mon œil ou sur mon crâne, ça me fait du bien.
Mais ma douleur, elle est tout autre.
Une image s’impose alors à moi.
Celle d’un globe oculaire dont on tirerait sur le nerf optique.
En mode film d’horreur gore…
Le voilà mon levier : il me suffit de relâcher la tension.
Ce que j’arrive à imaginer facilement.
Que du bonheur !
La douleur passe instantanément de 8 à 2.
Soit quelque chose de largement supportable pour que je puisse conduire.
Et qui sera bien plus facile à vivre jusqu’à ce que je prenne du repos.
Quel que soit ton niveau, quelle que soit la technique ou la méthode que tu utilises…
Un simple mot peut tout changer.
Choisir les bons mots est la première chose à faire (ça rejoint le fait d’exprimer le bon objectif of course).
La raison en est simple :
Tant que tu n’utilises pas les bons mots ?
Ton cerveau ne peut pas exécuter le bon ordre, celui qui t’apportera satisfaction.
« Les mots sont les outils les plus puissants que l’homme ait créés. »
Et nous les utilisons dans chaque situation, tout au long de notre journée et de notre vie.
Leur impact est immense.
À toi de choisir dans quel sens tu préfères les emmener.
Et pour t’y aider, tu peux encore accéder à la méthode Jouer avec les Mots pour Aller Mieux et ainsi comprendre et transformer tellement d’aspects de ta vie :
Je veux cette méthode pour aller mieux
(lien Paypal et téléchargement direct)
À tout de suite,
Jérémy